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Ô Byzance, Ô Luxuriance

O Byzantium O Luxuriance is a manifesto, a birth, even a rebirth, a revival of lost power in favor of sterile discourses and concepts.

O Byzantium O Luxuriance is a series of paintings without tragedy, without suffering.

O Byzantium O Luxuriance is an absolution, a glory, a legacy of beauty and color.

O Byzantium O Luxuriance is a series of contemporary and universal painting at a time.

 

From vestiges to vestiges, the new paintings of Mickael Doucet look like the phoenix rising from the ashes. The statue of Niobe hugging his last child looks impotent and fascinated spectator, the Victory of Samothrace submerged by lush vegetation throne in the center of the majestic and airy canvas ... Luxuriance ...

 

O Byzantium O luxuriance

 

As an ode to the art and pomp of yesteryear, the title of this new painting series  resonates in the hearts of men of the 21st century. Under the abstract skies, absolute reference to the majestic gradient of the Hiroshige or Hokusai prints, are born Babylonian gardens, secret and ancient, where enthroned in their womb divine and poetic sculptures belonging to the imaginary and the collective culture.

The edges of these buildings of raw concrete form a physical boundary but also phantasmagorical with these vegetal edges. Two space-times coexist, centuries probably separate them, and form only one by the magic of painting. Paint the impossible. And yet.

We often look at the past through the prism of museums, municipal gardens, church interiors or villas built in times long gone. But the paintings of Mickaël Doucet present us this time as a spectator of ourselves, vanities of today and the civilization that is being built.

Ô Byzance Ô Luxuriance est un manifeste, une naissance voire une renaissance, une reprise du pouvoir perdu au profit de discours et de concepts stériles.

Ô Byzance Ô Luxuriance est une série de peinture sans tragédie, sans souffrance.

Ô Byzance Ô Luxuriance est une absolution, une gloire, un legs de beauté et de couleurs.

Ô Byzance Ô Luxuriance est une série de peinture contemporaine et universelle à la fois.

De vestiges en vestiges, les nouvelles peintures de Mickael Doucet ressemblent au phénix qui renaît de ses cendres. La statue de Niobé enlaçant son dernier enfant regarde le spectateur impuissant et fasciné, la Victoire de Samothrace submergée par une végétation luxuriante trône au centre de la toile majestueuse et aérienne… Luxuriance…

Ô Byzance Ô luxuriance

Comme une ode déclamée à l’art et  au faste d'antan, le titre de cette nouvelle série  résonne dans le cœur des hommes du 21e siècle. Sous les ciels abstraits, référence absolue au dégradé majestueux des estampes d’Hiroshige ou d’Hokusai, naissent des jardins babyloniens, secrets et  antiques, où trônent en leur sein de divines et poétiques sculptures appartenant à l'imaginaire et à la culture collective.

Les rebords de ces bâtiments de béton brut forment une frontière physique mais également fantasmagorique avec ces orées végétales. Deux espace-temps cohabitent, des siècles sans doute les séparent, et ne forment plus qu'un par la magie de la peinture. Peindre l'impossible. Et pourtant.

Nous regardons souvent le passé par le prisme des musées, des jardins municipaux, des intérieurs d'église ou de villa construites à des époques révolues depuis longtemps déjà. Mais les peintures de Mickaël Doucet nous placent cette fois en spectateur de nous-mêmes, des vanités d’aujourd’hui et de la civilisation qui se construit actuellement.

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